3 avril 2008
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11:24
Les personnes de l'arrière ne comprenaient pas les soldats qui revenaient en permissions.
Je vais vous raconter une drôle d'histoire pourtant vrai.
je ne donnerais pas de nom. C'était un homme qui n'avait pas peur, il était toujours volontaire pour les coups durs, il fut blessé plusieurs fois, la dernière blessure fut terrible, il eut une jambe cassée, il fut envoyé à Paris pour se rétablir. Il était toujours porteur d'un couteau à cran d'arrêt.
En sortant d'un café, il fut bousculé par un homme qui sortait d'un bureau, il tomba lourdement par terre, le civil au lieu de s'excuser l'insulta, le soldat se releva d'un seul coup, le civil fut tué d'un coup de couteau au coeur. Cet homme fut condamné à cinq ans de travaux forcés à l'ile de Ré. Quand il revint il était clochard, il vivait emmitouflé dans une laine à coté d'un pont.
Son père habitait à Ytres.
Drôle de reconnaissance.
Louis Carnian.
Je vais vous raconter une drôle d'histoire pourtant vrai.
je ne donnerais pas de nom. C'était un homme qui n'avait pas peur, il était toujours volontaire pour les coups durs, il fut blessé plusieurs fois, la dernière blessure fut terrible, il eut une jambe cassée, il fut envoyé à Paris pour se rétablir. Il était toujours porteur d'un couteau à cran d'arrêt.
En sortant d'un café, il fut bousculé par un homme qui sortait d'un bureau, il tomba lourdement par terre, le civil au lieu de s'excuser l'insulta, le soldat se releva d'un seul coup, le civil fut tué d'un coup de couteau au coeur. Cet homme fut condamné à cinq ans de travaux forcés à l'ile de Ré. Quand il revint il était clochard, il vivait emmitouflé dans une laine à coté d'un pont.
Son père habitait à Ytres.
Drôle de reconnaissance.
Louis Carnian.